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Edition spécial : Tract Comité français de Libération nationale

Le Comité français de Libération nationale (CFLN) est l'organisme gouvernemental par lequel s'est effectuée, en juin 1943, la fusion des deux autorités françaises participant à la guerre avec les Alliés : le Comité national français de Londres, dirigé par le général de Gaulle, chef de la France libre, et le Commandement en chef français civil et militaire d'Alger, dirigé par le général Giraud, afin d'unifier l'effort de guerre français et de préparer la Libération. Le CFLN laisse la place le 3 juin 1944 au Gouvernement provisoire de la République française (GPRF).

Contenu :

Décrêt officiel fixant l'organisation et le fonctionnement du comité français de la Libération Nationale
Composition du comité de guerre : Présidents : Généraux Giraud et de Gaulle, Affaires Musulmanes Général Catroux, Armement, fournitures de guerre et reconstruction : M jean Monnet, Commissaire sans portefeuille : Général Georges, Travail et prévoyance sociale : M Alain Tixier, Colonies : M René Pleven,

Contenu

Page 1 :
Tunis et Bizerte tombent, les Alliés ont fait leur entrée le 7 mai
Première photo du Typhoon
L’offensive de la R.A.F. se poursuit à l’ouest (nouveau record de bombardement contre l’Allemagne), la nuit du 30 avril 55eme bombardement d’Essen par le Bomber Command.
Malte abat son millième avion
L’Amérique perd un chef, le lieutenant-général Franck Maxwell Andrews, commandant en chef des forces américaines dans le théâtre européen.
Ordre du jour de Staline du 1er mai : « le camp fasciste traverse une crise sérieuse …. Cette lutte exige de l’Armée rouge et des Alliés de grands sacrifices… mais sont prêtes à bondir sur la bête fasciste et, cette fois pour lui casser les reins. »
Page 2 :
En Allemagne : mobilisation totale – confusion sérieuse
En batterie à Sousse, canon de 88 mm allemand utilisé par un régiment de la VIIIème armée
Les français à Londres fêtent le premier mai
Goebbels manque son coup macabre
Nouvelles d’Afrique du Nord : amnistie générale à Alger, l’amiral Muselier, la conférence du ravitaillement, la « légion française des combattants» est dissoute.
La BBC
Page 3 :
Suite de la page 1 : la chute de Tunis, le Reich se console comme il peut
L’amiral Robert est remis à sa place, remise en cause des accords passés entre Washington et le représentant de l’Etat français à la Martinique
Fête nationale polonaise à Londres
Le calme précède l’orage sur le front russe, prise du nœud ferroviaire de Krimskaya
Les temps changent : 1940, la radio allemande chantait « nous marchons contre l’Angleterre » et 1943 « nous attendons…. Nous attendons » en référence au Mur de l’Atlantique.
5 Junkers 52 abattus en 10 minutes par un Beaufighter anglais.
Choix malheureux : une sorte de tulipe hollandaise appelée Spitfire a du être débaptisée
Page 4 :
La propagande et les réalités dans la guerre sous-marine
La fin de l’Astoria, sous-marin italien coulé par un destroyer britannique
Vers la conscription militaire ? (En France vœux de M Laval pour contribuer à la défense de l’Europe)

Contenu

Page 1 :
La R.A.F. fête son 25eme anniversaire en jetant 900.000 kgs de bombes sur Berlin
Salut de la France par le général Martial Valin chef des FAFL
La VIIIé Armée (britannique) a dépassé la ligne de Mareth
Page 2 :
Le lévrier de la Royal Navy (vedette rapide lance-torpille)
La civilisation ne tolérera pas l'infraction unilatérale des traités
Accalmie sur le front en Russie (reprise de Karkoff par les allemands mais les russes tiennent le Donezt)
Apparences trompeuses (problème des femmes allemandes en manteau de fourrures)
Page 3 :
Les yeux de la France se fixent sur Alger (démarrage des négociations entre le général De Gaulle et Giraud)
Rencontre de (général) Giraud et de (général) Alexander (commandant en chef adjoint des forces alliées en Aafrique du Nord)
Suite des 25 ans de la R.A.F.
Un aveu de Radio-Paris (double attaque des généraux Patton et Montgomery en Tunisie)
Une voix (allocution du général De Gaulle du 26 mars 1943)
L'avance en Tunisie (suite de la première page)
La BBC (ses fréquences)
Page 4 :
La R.A.F. a 25 ans
La D.C.A. britannique a acquis le respect de la Luftwaffe, voici pourquoi

Contenu

Page 1 :
La R.A.F. a déjà détruit 2000 usines en Allemagne, environ 2000 tonnes de bombes ont été jetées en deux nuits sur Essen.
La grande bataille de Kharkoff
Essen : la dévastation de l'usine Krupps
Page 2 :
Suite de la Russie (bataille de Kharkoff)
En Tunisie les Allemands sont cernés
La mobilisation des femmes allemandes
Le rat pris au piège (attaque allemande de Mareth commentée avec l'ordre du jour de général Montgomery)
Le "corps francs" est là
La semaine de la fête des "ailes pour la Victoire" (souscription pour la construction d'avions)
Page 3 :
Essen : Les usines Krupps après leur formidable pilonnage
Page 4 :
Racolage (au delà du thème de la "relève", les besoins d'ouvriers pour la machine de guerre allemande et le STO)
Hitler reconnait tardivement la valeur de puissance maritime (nomination au grade de grand amiral pour l'amiral Raeder)

courier texthp fev43 Contenu

- Devant Stalingrad une armée de 330 000 Allemands a été écrasée
- Churchill en Turquie après la conférence sur les plans d'attaque de 1943
- "A bientôt, dans Metz libéré" du général Giraud
- Les Danois réclament des abris
- Signes des temps : changment de slogan pour un journal allemand : "Toutes nos forces pour la guerre" et non plus "pour la victoire"
- Les combats de Tunisie, retraite de maréchal Rommel
- "Le même but" pour les généraux Giraud et De Gaulle
- A Berlin, lugubre anniversaire, Goering avait compté sans la R.A.F.
- Les avions qui retardèrent le discour de Goering : le Mosquito
- Janvier 1943 : le journal des opérations de la R.A.F.2.96 MB)

Sous-catégories

Ensemble des ouvrages relatifs à la bataille de Normandie : 5 juin au 25 août 1944