"Après mûre réflexion, la volonté du Fûhrer est de modifier les mesures à l'encontre de ceux qui se sont rendus coupables de délits contre le Reich ou contre les forces allemandes dans les zones occupées.
Notre Führer est d'avis qu'une condamnation au pénitencier ou aux travaux forcés à vie envoie un message de faiblesse. La seule force de dissuasion possible est la peine de mort, soit une mesure qui laissera la famille et le reste de la population dans l'incertitude aunt au sort réservé aux criminels".
La déportation vers l'Allemagne remplira cette fonction.
Source : "Paroles de l'Ombre" de JP Guéno.