Cet ouvrage a reçu le prix littéraire des "Deux-Magots" de 1941.
Son récit a fait de notre part l'objet de recherches méticulieuses de validation tant dans les journaux locaux avec l'Abeille d'Etampes, que dans la presse nationale d'époque, dans les archives des Armées à Vincenne ainsi que dans d'autres ouvrages de témoignages (tel que "Paris Juin 1940" de M le préfet de police Langeron).
Il était "téléphoniste" dans une section de mitrailleuses spécialisées dans la défense basse-altitude des points sensibles susceptibles notamment d'être attaqués en piquets.
Leur matériel était moderne avec des Hotchkiss bi-tubes de 13,2mm mais le site qu'il protégeait ne fut jamais attaqué. Il s'agissait de la "poudrerie du Bouchet".